Rencontre de jolies coquines près de chez toi :

Les chemins de Caprice : Anniversaire arrosé et assez chaud 1

Résumé : La jeune et jolie Caprice a fêté son anniversaire. Il va se terminer dans une nouvelle petite aventure sexuelle qu’elle appréciera.

Comme on le dit, il faut toujours fêter ses vingt ans. Et je peux vous affirmer, que ce vendredi soir, ils ont été bien arrosés. D’ailleurs, prudemment, je décidais de ne pas prendre ma voiture pour rentrer. Le restaurant, n’étant qu’à une petite demi-heure de mon appartement, je refusais poliment l’aide de mes amis. Marcher dans la fraicheur de la nuit me ferait du bien. Mais au bout d’une dizaine de minutes, je commençais à fatiguer. J’avais vraiment trop bu. Du coup, je pestais de ne pas avoir accepté que l’on me raccompagne.
Alors que j’avançais péniblement, un véhicule me doubla. Brusquement, il s’immobilisa quelques mètres plus loin, puis fit marche arrière, jusqu’à ma hauteur. La vitre s’abaissa. La tête, un peu efféminée, d’un jeune homme blond, se pencha vers moi.
– Bonsoir mademoiselle ! Où allez-vous, toute seule ? Peut-on vous aider ?
– Je rentre chez-moi… Mais ça va aller. Je suis juste un peu fatiguée, car j’ai un peu abusé sur la boisson lors de mon anniversaire
– Montez ! Nous allons vous ramener…
– Euh… Bon ! D’accord ! Merci

Pompette comme j’étais, ces gens étaient mes sauveurs. Outre le charmant garçon, au parler et aux gestes précieux, se prénommant Sacha, il y avait une conductrice, Valérie. C’était une grande fille black, aux longs cheveux noirs bouclés, d’une trentaine d’années, moyennement belle, mais attirante. J’indiquais l’adresse de ma résidence et je me calais dans le confortable siège en cuir. Bercée par le ronronnement du moteur, je m’assoupissais, oubliant où j’étais et où j’allais.

Rarement, je dormais aussi profondément. C’était probablement l’alcool, qui m’assommait. C’est Valérie qui me tira de mon sommeil. Péniblement, j’ouvrais les yeux. Je n’étais plus assise dans la voiture, mais sur le bord d’un lit. La noire d’un côté, tout sourire et son compagnon, de l’autre, en peignoir blanc, m’observaient. Je ne comprenais rien.
– Vous êtes chez-moi… Vous dormiez durant le trajet, alors Sacha et moi, nous vous avons monté ici.
– C’est gentil… J’ai un mal de tête, c’est affreux. J’ai fait fort !
– Vous allez prendre une douche chaude, puis vous coucher. Demain ça ira mieux.
– Mais c’est gênant…
– Mais non ! Nous vous laissons vous reposer.

Ils étaient vraiment sympathiques, ces deux là. En me déshabillant, je me demandais bien ce que cette femme pouvait faire avec ce gars, probablement homo. La douche me fit du bien. Je m’endormis rapidement.

Comateuse, je fus réveillée par d’étranges petits cris, qui provenaient d’une autre chambre. Intriguée, je me levais. Mes fringues n’étaient plus là. J’étais nue et plutôt paniquée. Et les cris continuaient. Je m’enroulais dans un drap pour aller voir. La porte de la chambre d’en face étant ouverte, j’y passais ma tête. Le spectacle y était intéressant. Allongé sur le lit, nu, le garçon se faisait masturber par Valérie, également dévêtue. Je constatais qu’elle avait un corps superbe et qu’elle savait bien s’y prendre avec ses mains. Mais Sacha m’aperçut. Trop tard pour m’éclipser et bien fait pour moi.
– Là ! Elle nous regarde ! Derrière toi !
– Oh ! Juste au moment où tu allais jouir. C’est bête !

Elle abandonna sa caresse et souplement quitta le lit pour venir vers moi, tout naturellement. C’était une vraie liane, avec ses cuisses longues et minces, ses petits seins ronds, hauts perchés, son ventre plat et son pubis parfaitement épilé.
– Bien dormi ? Rassurez-vous, vos vêtements sont dans une autre armoire. Celle de votre chambre était déjà pleine. Ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude de soulager les pulsions de Sacha. J’espère que vous n’êtes pas choquée ?
– Euh…Non. Vous êtes chez-vous.
– Vous voulez vous joindre à nous ? Juste pour illuminer votre anniversaire ?

A suivre…

Proposée par Delagrangedelest

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