Un demi-frère un peu dépassé par les événements… Mais heureux malgré tout !
Un jour comme les autres, ou presque. Ma demi-sœur passait l’après-midi chez nous. Nous papotions, rigolions. Puis son téléphone à sonné. Elle a dit joyeusement :
« – Ah ! C’est Maman, chouette ! Elle va me raconter sa journée ! »
Elle était radieuse dans ces moments là. Je l’enviais. Je n’avais pas connu ma mère. D’après ce que j’avais compris mon père avait juste payé une femme pour m’avoir. Puis j’avais été éduqué par les nombreuses conquêtes de mon père. J’avais gardé des liens avec certaines mais jamais aussi forts que ceux liés avec une vraie mère. Même ma génitrice, que j’avais rencontré à l’insu de mon père, m’avait laissé indifférent. Je vivais ce bonheur par procuration, savourant l’expression joyeuse de ma demi-sœur. Mais pas aujourd’hui. Je la vis froncer les sourcils en demandant :
« – Qui êtes-vous ? »
Puis elle a blêmit. Ses lèvres se sont mises à trembler. Elle a raccroché, le regard vide. Je me suis approché d’elle et j’ai posé ma main sur son épaule. Elle s’est effondrée en pleurs puis s’est serrée contre moi. Je ne comprenais pas trop mais je la réconfortais malgré tout. Mon père m’adressa un regard noir, visiblement jaloux qu’elle ne se soit pas tourné vers lui. Je lui répondit d’un regard interrogateur, lui indiquant que je ne savais pas plus que lui la raison de son émoi. Il haussa les épaules et partit. Je ne l’aurais pas cru si possessif. Enfin ma demi-sœur se calma un peu. Elle se releva en essuyant ses yeux. Elle reniflait toujours. Je demandais alors :
« – Que se passe t-il ? »
Je vis qu’elle allait pleurer de nouveau. Je la serrais fort et elle parvint enfin à dire :
« – Maman… Elle a eu un accident… Elle est… Elle est morte ! »
Elle éclata à nouveau en sanglots. En entendant cette nouvelle je fus aussi perdu qu’elle. Je ne savais que faire, que dire. Alors je l’ai juste serrée contre moi.
Lorsqu’elle fut à nouveau un peu calmée elle me demanda de la ramener chez elle, dans la maison qu’elle partageait avec sa mère. Je lui demandais si elle était sûre d’elle. Il était trop tôt à mon goût. Je lui proposais de rester ici. Mais elle refusa tout net. Elle ne voulut même pas dire au revoir à mon père ou lui annoncer la nouvelle. Alors nous partîmes comme des voleurs. Je ne pus m’empêcher de ressentir une pointe d’excitation, comme des gamins qui sortent en catimini… Une fois dans la voiture nous sommes resté silencieux. Pas un mot pendant le trajet. J’aurais voulu pourtant. Mais je ne trouvais pas. Je me garais dans sa rue et elle brisa enfin le silence :
« – Frérot ? »
« – Oui ? »
« – Je peux te sucer ? »
La demande me prit de court. Je balbutiais :
« – Tu… Enfin… Je… »
Elle posa sa main sur mon pantalon. Mon sexe était dur. Je n’y avais pas prêté attention car cela était souvent le cas lorsqu’elle était prêt de moi. Je l’avais toujours désirée. Mais je me sentis honteux que ce soit encore le cas maintenant. Je rougis violemment. Elle dit juste :
« – Je sais que tu en as envie, ton corps me le dit… »
A nouveau je tentais de trouver une pitoyable excuse, de repousser mes envies malsaines :
« – Ce n’est pas… Tu es ma sœur… »
Elle commença à défaire ma ceinture :
« – Demi-sœur. Et on s’en fiche. »
Puis elle ouvrit ma fermeture éclair et sortit mon membre. Elle le caressa doucement en murmurant :
« – Il est beau… Comme je l’avais rêvé. »
Savoir qu’elle avait rêver de mon sexe m’excitait terriblement. Mais je n’osais la regarder. J’avais les mains collées au volant. Mes yeux étaient fixés sur ses doigts qui caressaient doucement mon gland. J’étais hypnotisé. Je murmurais ‘Non, non, il ne faut pas…’ tout en poussant de petit soupir de plaisir. Enfin je posais ma main sur sa tête, mêlais mes doigts à ses cheveux et lui fit lentement pencher la tête. Elle me regarda puis dit :
« – Tu ne le regretteras pas, frérot… »
Puis elle se laissa lentement descendre, fixant son objectif des yeux. Elle m’avala profondément. Une sensation délicieuse. Elle parvint à aspirer malgré mon sexe qui l’empêchait de respirer. Puis sa langue virevolta autour de ma hampe. Je commençais à lui imprimer un mouvements de va et viens alors que ses mains caressaient mes bourses et la base de ma verge. Ma main relâcha ses cheveux pour s’aventurer sur son dos. Elle continua d’elle même à bouger de haut en bas, accélérant même pour me plaire davantage. Je murmurais :
« – Oh mon Dieu… Tu suces comme une déesse, sœurette ! »
Elle répondit sans même s’arrêter :
« – F’est parfque ta verve me fait enfie… »
L’entendre ainsi parler la bouche pleine m’excita encore plus.
Je savourais longtemps la délicieuse sensation de ses lèvres sur mon membre gonflé de désir. Puis elle se releva et nous échangeâmes un long regard. Enfin je murmurais :
« – Je te veux… »
Elle ne répondit pas et commença à ôter son haut. Je lui attrapais le bras et dis :
« – Pas ici… Pas comme ça. »
Elle ressentit l’urgence dans ma voix et elle eut un sourire coquin. Elle répondit alors d’une voix très douce :
« – Oui… Pas comme ça… »
Elle prit alors de nouveau mon sexe et parvint à le ranger dans mon pantalon avec douceur malgré sa raideur. Elle tapota alors sur la bosse qui se formait et dit en souriant de plus bel :
« – Reste bien en forme, d’accord ? »
Puis elle m’embrassa langoureusement. Un long regard à nouveau alors qu’elle continuait à frotter mon pantalon. J’eus peur un instant d’éjaculer dans mes vêtements mais elle ôta sa main et ouvrit la portière. Je la détaillais des yeux alors qu’elle sortait. Elle se pencha pour me murmurer :
« – Viens vite… Je suis si humide… »
Puis elle partit, laissant la portière ouverte. Je restais un instant sans savoir que faire. Enfin je fermais la portière et me dépêchais de la rejoindre. Elle ne m’avait pas attendu, s’amusant de mon impatience. Je fus forcé de courir et bloquais la porte avec mon pied. Elle se retourna puis m’adressa un sourire empli de promesse avant de continuer à monter vers son appartement.
Je la suivi sans mot dire, contemplant son corps qui ondulait. Elle m’ouvrit la porte et nous nous dirigeâmes directement vers la chambre. Je compris plus tard que ce n’était pas la sienne mais celle de sa mère. Je compris aussi qu’elle était habituée à ce lit… Mais pour le moment mes yeux étaient rivés sur son corps qu’elle me dévoilait peu à peu. Elle s’allongea alors sur le lit et me dévisagea avec un air moqueur. Je rougis puis me déshabillais à mon tour. Je réalisais combien mon attitude devais lui paraître infantile. J’étais gauche comme rarement je l’avais été. Même pour ma première fois. Je la désirais depuis si longtemps… Et je pensais encore que ce qui se passais était impossible, inconcevable. Mais je ne pouvais me retenir. Je m’allongeais à ses côtés et la caressais en l’embrassant. Ma langue joua avec son téton puis je descendis plus bas alors qu’elle me caressait les cheveux en gémissant. Enfin j’atteins mon but et elle se tendit en m’appelant. Je la fouillais délicatement. Elle était trempée de désir. Je la voulais et le sentiment était réciproque. Alors je remontais lentement le long de son corps, m’attardant quelques instants sur sa poitrine. Enfin je me glissais en elle, doucement, tendrement. Elle susurra :
« – Oui, mon aimé, viens en moi… »
Puis elle me donna un fougueux baiser. Elle ondula ses hanches et j’accompagnais son mouvement, amplifiant peu à peu ma pénétration. Je murmurais :
« – Si belle… Si douce… Enfin à moi… »
« – Oui toute à toi… »
Nouveau baiser enflammé. Je commençais à peine à m’habituer à l’agréable chaleur de son vagin qu’elle dit :
« – Frérot… Encule-moi. »
Je me figeais, peu habitué à ce genre de demande. Et puis j’hésitais. C’était si doux jusqu’à présent… J’avais peur de briser cet élan. Mais elle insista. Alors je ressortis de son corps en poussant un soupir de dépit. Nous sommes restés un long moment à nous regarder. Puis elle s’est redressée pour m’embrasser et s’est allongée sur le côté. Cela m’étonna : c’était une position auquel je n’étais pas habitué pour une sodomie. Je m’allongeais contre elle, mon sexe frottant l’intérieur de sa cuisse et son périnée. Je passais mon bras autour de son torse et caressais son sein. Elle murmura, visiblement embarrassée :
« – Je suis désolée… »
« – De quoi ? Tu ne veux plus ? »
« – Si… Mais mes seins… »
« – Et bien ? Qu’ont-ils donc ? »
« – Ils sont si petits… »
Je restais muet un moment. Je n’y avais pas vraiment prêté attention, savourant juste leur douceur et le mamelon dressé. Je lui soufflais gentiment :
« – Ce n’est pas grave… Ils sont si jolis ! »
« – Ne mens pas… »
« – Pourquoi mentirais-je ? »
« – Maman me disait souvent que mes seins étaient minables. Elle me faisait téter les siens. Ils étaient si doux et gros. Mais jamais elle n’a voulu téter les miens. »
« – C’est une conne. »
Je réalisais alors ce que je venais de dire. Je réalisais que sa mère venait juste de mourir et que je l’avais insulté. J’ai bafouillé des excuses. Elle n’a rien dit. J’avais peur qu’elle se mette à pleurer mais non. Elle répéta juste :
« – Encule-moi. »
Et j’obéis. Je la prenais avec douceur mais cela rentrait difficilement. J’embrassais sa nuque, caressais sa toison et son clitoris. Elle avait fermé les cuisses sous l’effet de la douleur. Enfin j’arrivais à bouger un peu. Je cherchais quelque chose à dire, à faire pour la relaxer. Je parvins juste à poser une question stupide :
« – Tu as connu beaucoup d’hommes ? »
Elle répondit en serrant les dents :
« – Aucun à moi. C’était les amants de Maman. Il n’y a eu que Papa qui ait été à moi. »
Je me figeais :
« – Tu… Tu l’as fait avec Papa ? »
« – Oui. Maman voulait que ce soit le premier, je ne sais pas trop pourquoi. Mais elle n’a pas su que nous avions continué après. »
« – Ta mère te forçait ? »
« – Parfois. Mais pas toujours. J’aimais bien quand nous étions à trois. Et puis certains de ses amants étaient gentil avec moi. »
« – Tu… Enfin… Est-ce que tu… »
« – Quoi donc ? »
« – Ben… Tu t’es faite souvent… Euh… Sodomiser ? »
Je rougis comme une tomate en demandant ça. Je me faisais vraiment l’effet d’un collégien. Mais je voulais savoir. Elle répondit simplement :
« – Non. C’est la première fois. Pourquoi t’es-tu arrêté ? »
« – Je… Ben… Ca me déstabilise tout ça. »
« – Ah… Tu me prends pour une pute ? »
« – Non ! C’est juste… Bizarre. »
« – Je pourrais l’être, tu sais. »
« – Comment ça ? »
« – Si tu me le demandes, je me prostituerais. »
J’en fus estomaqué :
« – Pourquoi je te demanderais ça ? »
« – Je ne sais pas. Pour ton plaisir, pour l’argent. »
« – Mais… Et ton plaisir ? »
Elle resta silencieuse. Je reprenais lentement mes mouvement en elle, incapable de retenir mes pulsions. Enfin elle dit :
« – Je ne veux pas vivre seule. »
« – Viens vivre à la maison alors. »
Elle se tourna pour m’embrasser :
« – Non, viens vivre ici toi. »
Je continuais à bouger, elle eut un rictus de douleur. Je m’excusais mais elle dit alors :
« – Fais de moi ton esclave sexuelle, s’il te plait. »
« – Hein ? Tu es folle ! »
« – J’étais celle de ma mère. Celle de notre père aussi, dans une moindre mesure. Mais je ne l’avais pas choisi. »
Elle m’embrassa à nouveau :
« – Toi je t’ai choisi. Ton sexe me fait mal mais j’en retire une grande satisfaction. »
« – Dé… Désolé. »
« – Ne le sois pas. »
Elle se dégagea, poussant un petit cri alors que mon sexe ressortait de son anus. Elle se leva et me tendit la main :
« – Viens. »
Je lui pris la main et suivi, complétement sous son emprise.
Elle me guida dans le couloir. Il y avait une grande glace. Elle prit appui dessus, bombant son fessier. Elle me dit alors :
« – Je ne veux plus que tu te retiennes. Je suis à ton service. Au service de tes désirs. Tu pourras admirer mes seins et mon visage en même temps comme cela. »
« – Tu es sûre ? »
« – Oui. Veux-tu que je crie et pleure ou préfères-tu que je me retienne ? »
La réponse sortit sans même réfléchir, j’étais un peu dépassé par les événements :
« – Retiens-toi. Je veux te forcer à crier et pleurer. »
Je rougis en entendant mes propres mots. Elle se contenta de courber l’échine et de se tendre, prête à me recevoir. Elle dit juste :
« – Bien. Prenez-moi, Maître, je suis à vous. »
Je m’approchais d’elle et caressais ce corps qui m’était offert. Je réalisais peu à peu qu’il était mien désormais. Je pris appui sur ses épaules et elle guida mon sexe dans son anus avant de murmurer :
« – Déchaînez-vous, faites-vous plaisir. Je suis là pour ça, Maître. Je serais toujours là pour ça… »
Elle n’eut pas besoin d’en dire plus. Je me plantais profondément en elle. Elle serra les dents et une larme coula sur sa joue. Cela m’excita et je commençais à la ramoner violemment. Elle ne tarda pas à pleurer. Mais elle retenait ses cris. Seul des petits couinements lui échappaient parfois. Je lui demandais alors :
« – Pourquoi pleures-tu ? Ce n’est pas ce que tu voulais ? »
« – Si, Maître. Je pleure de joie. »
Elle mentait. Mais c’était si agréable. Mes mains glissèrent le long de son corps et vinrent se caler sur ses hanches. Je la pris plus fort, frénétiquement. Elle hurla enfin. Puis elle bafouilla des excuses avant de hurler à nouveau. Je devins hystérique et ricana :
« – Ah, tu voulais que je me laisse aller, salope ! Et bien voilà pour toi ! »
Je donnais un grand coup. Elle sanglota. Je l’attrapais par les cheveux et lui tirais la tête en arrière pour bien voir son visage dans le miroir. Puis je lui ordonnais :
« – Ouvre les yeux, regarde-toi ! Qu’est-ce que tu vois ? »
« – Ouch… Une traînée, Maî… Aïe ! Une pute avide de sexe. »
« – C’est bien… Prends-ça dans ton petit cul étroit ! »
Je changeais de rythme, ralentissant pour donner d’amples coups de rein qui entraînait ma verge au plus profond de son corps. Elle hurlait désormais à chaque assaut. Je sentais cependant que je ne tiendrais plus longtemps. Alors je lui murmurais à l’oreille :
« – Tu es mienne. »
« – Oui, Maître, oui… Votre esclave à la vie, à la mort ! Je vous appartiens corps et âme, désormais ! »
Je sortis mon sexe et éjaculais sur ses fesses. Je déposais les dernières gouttes sur son anus et étalais mon jus en elle en la pénétrant de nouveau. Je la relevais en la tirant par les cheveux et savourais son corps sous mes doigts en l’admirant dans la glace. Je la relâchais enfin et elle prit grand plaisir à sucer mon sexe couvert de sperme. Je demandais d’un ton moqueur :
« – Tu en veux encore ? »
« – Si tel est votre désir… »
« – Mais toi, que veux-tu ? »
« – Vous. Tout le temps. J’aimerais être possédée de tous côtés à longueur de journée. »
« – Gourmande… »
« – Oui, Maître, de vous. »
Nous échangeâmes un long regard puis un tout aussi long baiser. Je sentais son corps chaud et vibrant contre le mien. Je murmurais alors :
« – J’ai toujours rêvé de baiser une femme sur la table de la cuisine… »
Elle sourit puis se mit à quatre pattes. Je la saisis par les cheveux et la tirais ainsi vers son nouveau destin…
Proposée par Talis Cat